« Lalaï, qui semble encore jeune et fragile, se révèle décidée, réfléchie et cette jeune fille, au destin aussi tragique que magique, est attachante. Il m’est difficile de la laisser derrière moi en tournant la dernière page. »
Merci à Misbare David pour sa chronique sur La Montagne d’Abranas, de Muriel Ferwerda.
Vous pouvez retrouver sa chronique sur son blog.