« C’est ce que j’ai le plus apprécié dans Le cinquième gardien. J’ai beaucoup aimé le lien entre imaginaire et l’explosion de Tchernobyl en 86. C’était très bien trouvé, et j’ai beaucoup aimé parcourir Pripiat. Cette ville exerce sur moi une certaine fascination, pas tant pour la catastrophe que pour ce qu’elle représente aujourd’hui : une ville fantôme, donc propice à l’imaginaire. »
Merci à Zoé Lucaccini (Zoé prend la plume) pour sa chronique sur Le cinquième gardien, roman d’aventure d’Ismaël Lemonnier.
Vous pouvez retrouver sa chronique sur son blog.