« Les abondants détails techniques concernant le vaisseau, son pilotage ou même les moyens de communication tels que le neuronet ou l’intercom, enrobent agréablement le récit et l’ensemble n’en paraît que plus crédible et cohérent. […] si comme moi vous aimez la science-fiction, la romance et les récits catastrophes, je vous recommande vivement ce roman qui vous dépaysera en vous emmenant très loin au fin fond de l’univers. »
Merci à La Sorcellivre pour sa chronique sur Le Naufrage du Titan C, de Philippe Aurèle Leroux et Sébastien Louis.
Vous pouvez retrouver sa chronique sur son compte Facebook.