Merci à Bouquinovores pour sa chronique sur Les enfants de Joans. « C’est un roman que je vous conseille de découvrir ! Je trouve qu’il est original ! On est d’accord, on a déjà tous lu un roman qui traite d’un virus mais je peux vous dire qu’aucun ne contient le phénomène du flux ! » Retrouvez sa chronique sur son site.
Merci à l’œil d’Opi pour sa chronique sur Les enfants de Joans. « À noter que les retournements de situation sont pour la plupart assez surprenants et parviennent à maintenir la tension au fil des presque quatre cents pages. » Retrouvez sa chronique sur son site.
Merci à Audrey Marin Pache pour sa chronique sur Les enfants de Joans. « Il y a du suspense, du début à la fin, difficile de décrocher de ce genre de livre! (d’ailleurs, je n’ai pas réussi: j’ai tout lu quasiment d’une traite!) » Retrouvez sa chronique sur son site.
Merci à Au fil des plumes pour sa chronique sur Les enfants de Joans. « Ce roman m’a complètement happé. J’ai adoré cette intrigue et l’univers que décrit l’auteure. Il y a des rebondissements, du mystère, du suspens bref, tous les ingrédients nécessaire pour que je tombe complètement dans le piège de l’histoire. » Retrouvez sa chronique sur son site.
Merci à Althéa Rose pour sa chronique sur Les enfants de Joans. « J’ai beaucoup aimé cet univers qui change d’autres dystopies YA que j’ai pu lire. » Retrouvez sa chronique sur son site.
Merci à AuroreKarelle de Passion Livres pour sa chronique sur Les enfants de Joans. « Ce livre est une belle découverte ! Ce premier tome pose les bases, même si des tas de questions restent sans réponses et que notre imagination crée ses propres suppositions. J’ai tremblé avec les personnages, me suis insurgée avec eux. Dans ce tome, […]
Le nouveau livre de Marathon Editions, “Les enfants de Joans” de Célia Barreyre, premier tome du diptyque « Flux », va paraître le 3 mai 2019.
Passionnée de littérature (avec une prédilection pour la science-fiction old school) et de bandes dessinées, je vis en Auvergne, pays de volcans et de légendes qui nourrit mon imagination.